Un soir de dîner avec Mathilde, je repars avec l'un de ses livres... Le titre ne me branchait pas plus que cela ; je connaissais également l'auteur puisque son nom circulait pour la direction du journal "Le monde".
Et puis, hop ! Ca m'a pris comme ça et j'ai commencé à lire. Le résumé du livre par l'éditeur est le suivant :
"Je ne sais rien de mes origines. Je suis né à paris de mère inconnue et mon père photographiait les héroïnes. Peu avant sa mort, il me confia que je devais mon existence à un baiser de cinéma."
Mon impression sur ce livre est qu'il est semblable à ces films de la Nouvelle Vague des années 60. La première partie du bouquin est de la même "couleur visuelle" que les films de cette époque. Oui, ça fait bizarre mais on voit le film en le lisant ! Bien sûr, il faut que le lecteur est un minimum de connaissance de cette époque et des films dont l'auteur fait mention. J'ai été moins séduit par la seconde partie du roman. Peut être parce que le narrateur de l'histoire ne sait même pas lui-même ce qu'il veut...
Saint- Valentin oblige, je vous parle de ce roman aujourd'hui ! Il est question d'amour. Et vous le savez, comme beaucoup d'histoire, celle-ci se termine très mal.....
Avec cette phrase comme souvenir
"Entre aimer et abîmer, (...) il n'y a qu'une lettre de différence, le petit "b" de la beauté."
2 commentaires:
"il faut que le lecteur EST un minimum de connaissance"... bouhouh la honte Benoit!! ;)
C'est clair c'est la honte !
Mais bon, j'ai écrit ça tôt le matin... ;-)
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