Morgan de Michael D. Akers
avec Leo Minaya et Jack Kesy
Synopsis
Morgan se retrouve paraplégique après un tragique accident de moto. Il essaie de rester positif en ne faisant pas de l'accident, la fin de sa vie. Il rencontre Dean et commence avec lui une relation amoureuse. Leur aventure lui donne des ailes et Morgan veut participer à une course de vélo dans la catégorie de handicap. Tout le monde est contre, même Dean...
Mon avis
Le handicap ainsi que la relation homosexuelle permettent au film d’aborder ces points actuels et sensibles de la société actuelle. On comprend bien le message du réalisateur qui veut faire du dépassement et l’acceptation de soi, le ciment de la société. L’idée est là, cependant le résultat n’est pas aussi clair et appliqué que je l’aurai souhaité.
Perfidia de Rodrigo Bellott
avec Gonzalo Valenzuela et Levi Freeman
Synopsis et mon avis
Le film retrace la journée d’un voyage qui va changer la vie de Gus. Il arrive dans un petit hôtel dans l'État de New York où il commence les premières étapes de sa transformation physique et psychologique. Le début du film est intriguant, la réalisation soignée mais on est vite lassé de devoir attendre la fin du film pour avoir un (début de) éclaircissement…
Private Romeo d’Alan Brown
avec Hale Appleman et Charlie Barnett
Synopsis et mon avis
Huit cadets sont livrés à eux-mêmes dans un camp d’entraînement militaire et s’affrontent autour du « Don't ask don't tell » et des tabous liés à l’homosexualité. La grande originalité du film est de reprendre le texte original de Roméo et Juliette – un peu comme l’a fait Baz Luhrmann. Aborder l’homosexualité sur la base de l’histoire de ces amoureux maudits est une excellente idée. Cependant, le fait de garder l’intégralité du texte et donc l’emploi de termes féminins pour parler d’un homme, m’a complètement gâché le film. Un homme reste un homme, même s’il en aime un autre. Dommage.
Christopher and his kind de Geoffrey Sax
avec Matt Smith (IV) et Toby Jones
Synopsis et mon avis
Le film retrace la vie du romancier homosexuel Christopher Isherwood à Berlin dans les années 1930, au moment de la montée du fascisme. J’ai beaucoup aimé la reconstitution de l’époque – décors et costumes -, cependant il y a beaucoup de lenteurs et rien n’est vraiment excitant en fin de compte/conte. Le film se finit et on se dit : « Ah ! D’accord ! »
In & out de Frank Oz
avec Kevin Kline, Matt Dillon et Joan Cusack
Synopsis
Howard Brackett enseigne la littérature et la poésie anglaises au lycée de Greenleaf dans l'Indiana. Célibataire désinvolte, il est fiancé depuis trois ans à la timide Emily Montgomery, qui attend avec impatience leur mariage. C'est alors qu'un de ces anciens élèves, devenu comédien, reçoit un Oscar à Hollywood. Filmé par la télévision, il rend un hommage public à son ancien professeur et inspirateur, en le remerciant et en... annonçant qu’il est gay !
Mon avis
Avec ces films assez pessimistes sur l’homosexualité, je me suis dit qu’une comédie me ferait le plus grand bien ! En effet, j’ai ri mais pas autant que je l’aurai espéré. S’il faut pousser le trait pour faire rire, ça ne veut pas forcément dire qu’il faut en faire une caricature…
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