Jamie Cullum est né le 20 août 1979 en Angleterre. Jamie a grandi en musique et a toujours été un touche à tout. Talent précoce, il commence à apprendre la guitare, le piano et le chant à l'âge de huit ans. Il s’intéresse à différents types de musique : rock, hip-hop, acid jazz, blues, …
Quelques années plus tard, alors qu'il termine ses études secondaires, Jamie se sent frustré par le carcan de l'éducation et par la carrière académique qui semble lui être destinée. Il décide alors de prendre une année sabbatique, pour consacrer plus de temps à la musique notamment au jazz qu’il vient de découvrir à travers des disques de Oscar Peterson et Dave Brubeck, mais aussi avec Herbie Hancock and Miles Davis. Cette année, Jamie la passe aussi à voyager.Il séjourne d'ailleurs plusieurs mois à Paris, où il pourra donner libre cours à sa passion, tant comme spectateur que comme pianiste dans de nombreux bars (Et dire que j’ai raté ça !)
De retour en Angleterre, Jamie jouera de plus en plus souvent dans des hôtels, pour des fêtes et toutes les semaines dans un pub local où la fréquence de ses apparitions l'obligeront à apprendre de plus en plus de morceaux. Un soir, à court de nouveautés, il se mit à chanter "Do you know what it means New Orleans" de Ray Charles. C'est à ce moment qu'il réalisa qu'il pouvait se consacrer entièrement à sa musique et on commence à le voir sur scène, où il fait très vite partie intégrante de la scène de jazz montante.
De retour en Angleterre, Jamie jouera de plus en plus souvent dans des hôtels, pour des fêtes et toutes les semaines dans un pub local où la fréquence de ses apparitions l'obligeront à apprendre de plus en plus de morceaux. Un soir, à court de nouveautés, il se mit à chanter "Do you know what it means New Orleans" de Ray Charles. C'est à ce moment qu'il réalisa qu'il pouvait se consacrer entièrement à sa musique et on commence à le voir sur scène, où il fait très vite partie intégrante de la scène de jazz montante.
Malgré tous ces succès, Jamie décide de s'inscrire à l'université, où il suit des cours de littérature anglaise avant de se voir offrir une place dans la filière tant convoitée de cinéma et d'art dramatique, où il compose et joue ses premières musiques de films, et joue dans plusieurs pièces et courts métrages, sans oublier sa musique qu'il perfectionne sur les scènes d'Oxford et de Londres.
A 19 ans seulement, Jamie décide d'enregistrer et de produire lui même son propre album : "Jamie Cullum Trio -Heard it all before-". Disponible uniquement aux concerts, il se vend comme des petits pains et atteint les 700 exemplaires vendus ! Waouh !
C'est en jouant avec le Berkshire Youth Orchestra (aujourd'hui appelé The Pendulum Big Band) qu'il rencontre le bassiste renommé Geoff Gascoyne qui lui demande de participer à son prochain album "Songs of the summer", avec d'autres artistes comme Ben Castle, Gareth Williams, Anthony Kerr et Sebastiaan de Krom. Après son diplôme et encouragé par Geoff, Jamie se met alors à composer et réarranger des morceaux pour son prochain album.
Noël 2001. C'est avec beaucoup plus de moyens que Jamie peut produire son album. Il enregistre de nouvelles chansons. Il est invité à venir se produire dans les lieux branchés en matière de jazz, comme le 606 club, Pizza Express Jazz Club et bien d'autres.
Concients de son talent et de son succès montant, radio 2 et BBC London le programment régulièrement sur leurs ondes. C'est alors chez Universal que Jamie signe un nouveau contrat de plus d'un million de livres sterling, ce qui constitue un record pour un artiste de jazz !Jamie est même invité à venir jouer pour l'anniversaire de la Reine Elisabeth II au St James Palace !
Twentysomething sort en 2003 et Jamie passe avec cet album le cap des 2 millions d'albums vendus dans le monde ... un record pour du jazz ! C’est à ce moment là que je le découvre. Puis, en 2005, il revient avec "Catching Tales". 2005 et 2006, Jamie les passe sur les routes et sur scène. Deux ans autour du monde, propageant sa musique aux quatre coins du monde, de Hong Kong à Chicago, en passant par Saõ Paulo, Madrid ou le Cap.
Pour 2007, Jamie avoue qu'il passera plus de temps à se reposer et moins de temps sur les routes. Outre la sortie d'un nouvel album et quelques concerts lors des festivals britanniques, l'année risque donc d'être beaucoup plus calme...
Ce qu’il dit :
"At first I didn't think certain songs had a place in what I was doing with jazz, but I've realized that everything does, and that reaffirms my belief that jazz is the greatest platform to do whatever you want. This is a better representation of what I am and what I want to be as a musician. The way I like to approach music is to mix things round and, fortunately, I like to mix it with things that people find a bit more familiar. I love pop music so I mix jazz and pop music. Not because I want to make it accessible but because it’s music that I enjoy. I guess I've just got an angle on it that people find a bit more interesting."
"At first I didn't think certain songs had a place in what I was doing with jazz, but I've realized that everything does, and that reaffirms my belief that jazz is the greatest platform to do whatever you want. This is a better representation of what I am and what I want to be as a musician. The way I like to approach music is to mix things round and, fortunately, I like to mix it with things that people find a bit more familiar. I love pop music so I mix jazz and pop music. Not because I want to make it accessible but because it’s music that I enjoy. I guess I've just got an angle on it that people find a bit more interesting."
Bref, vous l’aurez compris, je l’adore !"
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