On connaît tous les principales œuvres de Andy Warhol. La célèbre boîte de conserve Campbell's ou bien ses portraits de stars reproduits en différentes couleurs. On pensait avoir tout découvert de l'artiste mais on vient de découvrir une dizaine de nouvelles œuvres de l'artiste. Et la surprise est que ces œuvres sont... informatiques ! En effet, une mystérieuse disquette a été retrouvée dans les archives du musée Warhol aux Etats-Unis. Les fichiers stockés sur la disquette ont été exhumés grâce aux recherches de l'artiste Cory Arcangel, fan d'Andy Warhol, et au travail de la Carnegie Mellon University. Parmi la dizaine d'oeuvres numériques du maître du pop-art, figurent une version de sa célèbre boîte de conserve Campbell's, un autoportrait,... tous réalisés en 1985 à partir d'un ordinateur Amiga qui lui avait alors été donné de tester ! On peut voir en effet que c'était les débuts de l'art informatique...
vendredi 30 mai 2014
jeudi 29 mai 2014
Films français
Cela fait longtemps que je n'ai pas fait de critique ciné de films français ! La sélection est vraiment très hétéroclite à l'image de ce que l'on peut trouver sur nos écrans ! Enjoy !
Synopsis
Rémy, jeune architecte parisien, est envoyé à Shanghai par son agence pour remplacer un collègue tombé malade et finaliser le chantier de la salle de spectacle qu’il dirigeait. A l’issue du chantier, il doit intégrer la filiale de l’agence pour 3 ans. Marine, sa femme, d’abord réticente à tout abandonner pour suivre son mari avec leur fils Alex au bout du monde, se laisse finalement convaincre de tenter l’aventure. Installée à Shanghai, la petite famille doit rapidement s’adapter à un mode de vie totalement dépaysant. Alors que la partie semble gagnée, des complications professionnelles viennent troubler leur vie…
Mon avis
2 choses m’ont tenté pour ce film. 1/ J’adore Clément Sibony et Elodie Navarre ! On les voit trop rarement au cinéma. 2/ J’étais curieux de voir leur experience. Quitter son pays pour s'installer loin, commencer presque tout a zéro avec des gens de culture differente, j’ai connu mais pas en Chine ! Je pense qu’Idriss et Anne-So se retrouveront beaucoup dans ce film… Et oui, la vie d'expatriés peut être parfois éprouvante surtout au début !
Synopsis
Fraîchement installé à Paris, David, un musicien, timide et maladroit, tombe fou amoureux de sa jeune élève, Julia. Il tente tout pour la séduire. Sa colocataire, Anne, l'encourage, le conseille, et le console... passionnément !
Mon avis
Un petit film sympathique par un réalisateur/acteur que j’apprécie beaucoup. Le film est un mélange de comédie sentimentale et burlesque. Il y a des situations comiques et des dialogues très bien ciselés. Je donnerai beaucoup pour voir Frédérique Bel jouer autre chose que la blonde écervelée…
Synopsis
Alexandre a quinze ans et vit seul avec son père, dans les coups et la violence. Pour échapper à ce quotidien sans répit, Alex se réfugie dans son sport favori, l'aviron, et n'a qu'une obsession, gagner seul et à tout prix les championnats de Belgique. Son entraîneur Sergi et sa copine Murielle vont permettre à Alex de redécouvrir les valeurs humaines qu'il avait perdues.
Mon avis
J’aime les films qui abordent des histoires simples sur un sujet difficile sans sentimentalisme et avec réalisme. De bons acteurs, une bonne réalisation, il nemanque qu’un peu de rythme et le film serait parfait !
Synopsis
Le premier souvenir que j’ai de ma mère c’est quand j’avais quatre ou cinq ans. Elle nous appelle, mes deux frères et moi, pour le dîner en disant : "Les garçons et Guillaume, à table !" et la dernière fois que je lui ai parlé au téléphone, elle raccroche en me disant : "Je t’embrasse ma chérie" ; eh bien disons qu’entre ces deux phrases, il y a quelques malentendus.
Mon avis
Je n’ai jamais vu le spectacle de Guillaume Gallienne mais je dois dire que j’ai été séduit par le film. L’histoire autobiographique nous fait bien sentir que derrière le rire (et l’intelligence d’ecriture), il y a des blessures. L’humour de Guillaume Gallienne, sa réalisation totalement loufoque mais pourtant impeccable et élégante, la performance d’acteur (il incarne sa propre mère), etc.. sont autant de qualités qui expliquent le succès du film auprès du public. A voir !
Synopsis
Au cœur de la nuit, un jeune couple et leur gouvernante travestie préparent une orgie. Sont attendus La Chienne, La Star, L’Etalon et L’Adolescent.
Mon avis
Si « Les garçons et Guillaume, à table ! » était la limite de l’étrangeté que vous pouvez voir au cinéma, ne regardez pas « Les rencontres d’après minuit » qui se veut l’héritier du cinéma surréaliste des années 70. Carnaval de désir(s) Ô combien étrange et poétique ! J’ai tenté cette expérience mais pour ma part, la mise en scène très (trop ?) théâtrale et manque de vie. A vous de voir !
Synopsis
À 15 ans, Adèle ne se pose pas de question : une fille, ça sort avec des garçons. Sa vie bascule le jour où elle rencontre Emma, une jeune femme aux cheveux bleus, qui lui fait découvrir le désir et lui permettra de s’affirmer en tant que femme et adulte. Face au regard des autres Adèle grandit, se cherche, se perd, se trouve...
Mon avis
La vie d’Adèle est un film intense, charnel, maitrisé et très subtil. C’est d’abord une histoire d’amour et le réalisateur n’a pas son pareil pour filmer en gros plan les émotions. L’économie de mots met en lumière la sincérité et le talent des actrices. Une chose que je retiens de ce film : Adèle Exarchopoulos, immense actrice qui irradie et magnifie chaque image !
Shanghai blues, nouveau monde de Fred Garson
avec Clément Sibony et Elodie Navarre
Synopsis
Rémy, jeune architecte parisien, est envoyé à Shanghai par son agence pour remplacer un collègue tombé malade et finaliser le chantier de la salle de spectacle qu’il dirigeait. A l’issue du chantier, il doit intégrer la filiale de l’agence pour 3 ans. Marine, sa femme, d’abord réticente à tout abandonner pour suivre son mari avec leur fils Alex au bout du monde, se laisse finalement convaincre de tenter l’aventure. Installée à Shanghai, la petite famille doit rapidement s’adapter à un mode de vie totalement dépaysant. Alors que la partie semble gagnée, des complications professionnelles viennent troubler leur vie…
Mon avis
2 choses m’ont tenté pour ce film. 1/ J’adore Clément Sibony et Elodie Navarre ! On les voit trop rarement au cinéma. 2/ J’étais curieux de voir leur experience. Quitter son pays pour s'installer loin, commencer presque tout a zéro avec des gens de culture differente, j’ai connu mais pas en Chine ! Je pense qu’Idriss et Anne-So se retrouveront beaucoup dans ce film… Et oui, la vie d'expatriés peut être parfois éprouvante surtout au début !
Changement d’adresse d’Emmanuel Mouret
avec Emmanuel Mouret et Frédérique Bel
Synopsis
Fraîchement installé à Paris, David, un musicien, timide et maladroit, tombe fou amoureux de sa jeune élève, Julia. Il tente tout pour la séduire. Sa colocataire, Anne, l'encourage, le conseille, et le console... passionnément !
Mon avis
Un petit film sympathique par un réalisateur/acteur que j’apprécie beaucoup. Le film est un mélange de comédie sentimentale et burlesque. Il y a des situations comiques et des dialogues très bien ciselés. Je donnerai beaucoup pour voir Frédérique Bel jouer autre chose que la blonde écervelée…
La régate de Bernard Bellefroid
avec Joffrey Verbruggen, Thierry Hancisse et Sergi López
Synopsis
Alexandre a quinze ans et vit seul avec son père, dans les coups et la violence. Pour échapper à ce quotidien sans répit, Alex se réfugie dans son sport favori, l'aviron, et n'a qu'une obsession, gagner seul et à tout prix les championnats de Belgique. Son entraîneur Sergi et sa copine Murielle vont permettre à Alex de redécouvrir les valeurs humaines qu'il avait perdues.
Mon avis
J’aime les films qui abordent des histoires simples sur un sujet difficile sans sentimentalisme et avec réalisme. De bons acteurs, une bonne réalisation, il nemanque qu’un peu de rythme et le film serait parfait !
Les garçons et Guillaume, à table ! de Guillaume Gallienne
avec lui-meme, André Marcon et Françoise Fabian
Synopsis
Le premier souvenir que j’ai de ma mère c’est quand j’avais quatre ou cinq ans. Elle nous appelle, mes deux frères et moi, pour le dîner en disant : "Les garçons et Guillaume, à table !" et la dernière fois que je lui ai parlé au téléphone, elle raccroche en me disant : "Je t’embrasse ma chérie" ; eh bien disons qu’entre ces deux phrases, il y a quelques malentendus.
Mon avis
Je n’ai jamais vu le spectacle de Guillaume Gallienne mais je dois dire que j’ai été séduit par le film. L’histoire autobiographique nous fait bien sentir que derrière le rire (et l’intelligence d’ecriture), il y a des blessures. L’humour de Guillaume Gallienne, sa réalisation totalement loufoque mais pourtant impeccable et élégante, la performance d’acteur (il incarne sa propre mère), etc.. sont autant de qualités qui expliquent le succès du film auprès du public. A voir !
Les rencontres d’après minuit de Yann Gonzalez
avec Kate Moran, Niels Schneider et d’autres
Synopsis
Au cœur de la nuit, un jeune couple et leur gouvernante travestie préparent une orgie. Sont attendus La Chienne, La Star, L’Etalon et L’Adolescent.
Mon avis
Si « Les garçons et Guillaume, à table ! » était la limite de l’étrangeté que vous pouvez voir au cinéma, ne regardez pas « Les rencontres d’après minuit » qui se veut l’héritier du cinéma surréaliste des années 70. Carnaval de désir(s) Ô combien étrange et poétique ! J’ai tenté cette expérience mais pour ma part, la mise en scène très (trop ?) théâtrale et manque de vie. A vous de voir !
La vie d’Adèle d’Abdellatif Kechiche
avec Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos
Synopsis
À 15 ans, Adèle ne se pose pas de question : une fille, ça sort avec des garçons. Sa vie bascule le jour où elle rencontre Emma, une jeune femme aux cheveux bleus, qui lui fait découvrir le désir et lui permettra de s’affirmer en tant que femme et adulte. Face au regard des autres Adèle grandit, se cherche, se perd, se trouve...
Mon avis
La vie d’Adèle est un film intense, charnel, maitrisé et très subtil. C’est d’abord une histoire d’amour et le réalisateur n’a pas son pareil pour filmer en gros plan les émotions. L’économie de mots met en lumière la sincérité et le talent des actrices. Une chose que je retiens de ce film : Adèle Exarchopoulos, immense actrice qui irradie et magnifie chaque image !
mercredi 28 mai 2014
Chers voisins
Je vous avais déjà raconté mes histoires de voisines - à relire ici ! Je n'ai rien de très croustillant à vous raconter dans mon nouveau building. Je ne connais pas trop mes voisins et surtout je n'ai pas la fête des voisins - également appelée Immeubles en fête - comme en France tous les 24 Mai. C'est vrai que parfois, nous n'avons pas forcement envie d'apprendre à mieux connaître ses voisins et de partager un repas tous ensemble. Le nouveau Tumblr Chers Voisins nous montre avec humour que les relations avec nos voisins peuvent en effet parfois être tendus ! Ce tumblr est hilarant, prenez le temps de le lire ! En attendant, sélection des petits mots de voisins qui m'ont fait rire !
mardi 27 mai 2014
Serge le lapin
Demain, il y aura du nouveau dans le métro parisien ! Non, non pas de nouvelle ligne ou station mais... un relooking du célèbre lapin de la RATP ! Que vous viviez à Paris depuis longtemps ou que vous soyez un touriste, vous avez forcement vu ce lapin sur toutes les portes des rames de métro (24 000 lapins sur les portes du métro et du RER au total !!). La dernière fois que nous sommes allés à Paris, Justin a bien ri en voyant le lapin "qui se fait pincer les doigts très fort". Et d'ailleurs pourquoi ils ont pris un lapin ?
Le lapin du métro parisien est née en 1977 lorsque la dessinatrice Anne Le Lagadec a choisi cet animal pour illustrer le message de prévention sur le risque de pincement de doigts dans les portes du métro. Le lapin a connu son premier lifting sous le crayon de Serge Maury, qui a choisi de conserver son allure de "doudou". Mais changement de tenue ! Une communauté de fans du lapin se crée alors et au fil du temps l'animal prend progressivement le prénom de son concepteur Serge. Pour ce lifting, Serge le lapin sera plus jeune et en jeans-baskets ! Voici son évolution au fil du temps !
On vérifiera ce nouveau look en Septembre quand nous irons en France. Perso, je trouve que cela fait toujours aussi vieillot !
Le lapin du métro parisien est née en 1977 lorsque la dessinatrice Anne Le Lagadec a choisi cet animal pour illustrer le message de prévention sur le risque de pincement de doigts dans les portes du métro. Le lapin a connu son premier lifting sous le crayon de Serge Maury, qui a choisi de conserver son allure de "doudou". Mais changement de tenue ! Une communauté de fans du lapin se crée alors et au fil du temps l'animal prend progressivement le prénom de son concepteur Serge. Pour ce lifting, Serge le lapin sera plus jeune et en jeans-baskets ! Voici son évolution au fil du temps !
On vérifiera ce nouveau look en Septembre quand nous irons en France. Perso, je trouve que cela fait toujours aussi vieillot !
lundi 26 mai 2014
Week-end
Vendredi
Christian un copain de Justin est de passage a Boston. Je n’ai vraiment pas le temps de me joindre à eux pour leur marche / cocktail tour de Boston. Lorsque j’arrive le soir, Christian est déjà reparti et Justin… est bourré ! Ce qu’il m’a juste montré est la photo de la meilleure margarita qu’il ait bue !
Du coup, histoire de le ramener à la réalité, on a été faire les courses ! On a ensuite regardé un fim… enfin, j’ai regardé un film car Justin comatait !
Samedi
Labo le matin et gym dans la foulée ! L’après-midi, nous avons décidé de faire du shopping dans le centre de Boston. $$$$ Le soir, nous voulions tester un nouveau restaurant qui fait parait-il les meilleurs burgers de Boston. 45 minutes d’attente, l’endroit est apparemment victime de son succès. On s’est rabattu dans un resto-bar de la même rue, 49 Social. C’était vide et tant mieux pour nous ! Car les cocktails sont parfaits et la nourriture exquise ! Je me rappelle encore des arancinis que j’ai pris ! Retour à la maison contents de notre virée romantique.
Dimanche
Labo rapidement le matin car Lindsay et Scott nous ont invités avec Céline, Manu et leur bébé Anaïs à venir chez eux pour manger, boire et s’amuser. Tout le monde en voiture (chienne comprise ! On était un peu chargé !) et direction Andover ! On a passé une super journée ! Mon appareil était sur la table mais je n’ai pas eu le réflexe de prendre de photos du barbecue, de nos cocktails ou encore de notre jeu d’échelle. Du beau temps avec un grand soleil, j’aime la fin du printemps à Boston !
Christian un copain de Justin est de passage a Boston. Je n’ai vraiment pas le temps de me joindre à eux pour leur marche / cocktail tour de Boston. Lorsque j’arrive le soir, Christian est déjà reparti et Justin… est bourré ! Ce qu’il m’a juste montré est la photo de la meilleure margarita qu’il ait bue !
Du coup, histoire de le ramener à la réalité, on a été faire les courses ! On a ensuite regardé un fim… enfin, j’ai regardé un film car Justin comatait !
Samedi
Labo le matin et gym dans la foulée ! L’après-midi, nous avons décidé de faire du shopping dans le centre de Boston. $$$$ Le soir, nous voulions tester un nouveau restaurant qui fait parait-il les meilleurs burgers de Boston. 45 minutes d’attente, l’endroit est apparemment victime de son succès. On s’est rabattu dans un resto-bar de la même rue, 49 Social. C’était vide et tant mieux pour nous ! Car les cocktails sont parfaits et la nourriture exquise ! Je me rappelle encore des arancinis que j’ai pris ! Retour à la maison contents de notre virée romantique.
Dimanche
Labo rapidement le matin car Lindsay et Scott nous ont invités avec Céline, Manu et leur bébé Anaïs à venir chez eux pour manger, boire et s’amuser. Tout le monde en voiture (chienne comprise ! On était un peu chargé !) et direction Andover ! On a passé une super journée ! Mon appareil était sur la table mais je n’ai pas eu le réflexe de prendre de photos du barbecue, de nos cocktails ou encore de notre jeu d’échelle. Du beau temps avec un grand soleil, j’aime la fin du printemps à Boston !
samedi 24 mai 2014
Faire de l'art avec... (15)
… des confettis !
L’artiste français Ced Vernay utilise des confettis pour réaliser des portraits saisissants de réalisme. Dans son atelier marseillais, il perfore des magazines entiers, saisit patiemment les confettis un à un à la pince à épiler, les enduit de colle et réalise sa composition. Il lui faut compter environ une semaine pour réaliser un portrait ! Un travail minutieux qui pourrait s’apparenter au mouvement pointillisme (Seurat, Signac).
… des chips et des crackers !
Il s’appelle Nathan Wyburn et cet artiste gallois réalise des portraits de stars avec des chips et des crackers ! Il a été remarqué en 2011 dans la version anglaise de "La France a un incroyable talent". A vous de voir si ses œuvres sont à votre goût !
… des céréales !
Sarah Rosado, une artiste new-yorkaise réalise des portraits grâce à des céréales. Un petit-déjeuner et vous avez Beyoncé, John Lennon ou encore Elvis Presley ! Chaque portrait prend 6 à 8 heures pour être réalisé. Pratique, comme ça vous avez ensuite le diner ! lol
… des nuages !
Quand on était petit, on s’est tous amusés à deviner ce qui se cachait derrière la forme d’un nuage. Le photographe palestinien Belal Khaled est parti de ce principe et a manipulé ses photos de guerre pour créer des images poignantes. Les nuages de fumée des bombardements et/ou de l’effondrement d'un immeuble après une attaque aérienne prennent vie et deviennent un visage, un point levé, etc…
… un ballon de foot !
La Coupe du monde contamine aussi les artistes comme "Red" Hong Yi, une jeune Malaisienne, qui a réalisé à l'occasion du Mondial le portrait de 3 joueurs emblématiques, Lionel Messi, Cristiano Ronaldo et Neymar, uniquement à l’aide de ses pieds ainsi que d'un ballon de football !
Elle n’en est pas à son premier coup car sa specialite est d’utiliser absolument tout sauf des pinceaux pour accomplir ses œuvres. A relire ici et là !
… des frites !
L’artiste Prudence Staite réalise des versions comestibles de monuments britanniques tels que le London Eye, le Big Ben ou encore le Stonehenge avec... des frites et de purée de pois ! Les frites servent aux monuments en eux-mêmes, alors que la purée de pois sert à constituer le paysage environnant.
L’artiste français Ced Vernay utilise des confettis pour réaliser des portraits saisissants de réalisme. Dans son atelier marseillais, il perfore des magazines entiers, saisit patiemment les confettis un à un à la pince à épiler, les enduit de colle et réalise sa composition. Il lui faut compter environ une semaine pour réaliser un portrait ! Un travail minutieux qui pourrait s’apparenter au mouvement pointillisme (Seurat, Signac).
… des chips et des crackers !
Il s’appelle Nathan Wyburn et cet artiste gallois réalise des portraits de stars avec des chips et des crackers ! Il a été remarqué en 2011 dans la version anglaise de "La France a un incroyable talent". A vous de voir si ses œuvres sont à votre goût !
… des céréales !
Sarah Rosado, une artiste new-yorkaise réalise des portraits grâce à des céréales. Un petit-déjeuner et vous avez Beyoncé, John Lennon ou encore Elvis Presley ! Chaque portrait prend 6 à 8 heures pour être réalisé. Pratique, comme ça vous avez ensuite le diner ! lol
… des nuages !
Quand on était petit, on s’est tous amusés à deviner ce qui se cachait derrière la forme d’un nuage. Le photographe palestinien Belal Khaled est parti de ce principe et a manipulé ses photos de guerre pour créer des images poignantes. Les nuages de fumée des bombardements et/ou de l’effondrement d'un immeuble après une attaque aérienne prennent vie et deviennent un visage, un point levé, etc…
… un ballon de foot !
La Coupe du monde contamine aussi les artistes comme "Red" Hong Yi, une jeune Malaisienne, qui a réalisé à l'occasion du Mondial le portrait de 3 joueurs emblématiques, Lionel Messi, Cristiano Ronaldo et Neymar, uniquement à l’aide de ses pieds ainsi que d'un ballon de football !
Elle n’en est pas à son premier coup car sa specialite est d’utiliser absolument tout sauf des pinceaux pour accomplir ses œuvres. A relire ici et là !
… des frites !
L’artiste Prudence Staite réalise des versions comestibles de monuments britanniques tels que le London Eye, le Big Ben ou encore le Stonehenge avec... des frites et de purée de pois ! Les frites servent aux monuments en eux-mêmes, alors que la purée de pois sert à constituer le paysage environnant.
vendredi 23 mai 2014
Bois... ta crème solaire !
L'été sera bientôt là et les rayons de supermarchés avec les bouteilles de crème solaire sont là pour nous le rappeler ! Indice 15 ou 30, en spray ou en crème, il y en a pour tous les choix ! Mais quel est le bon choix ? La société américaine de cosmétiques, Osmosis Skincare, prétend avoir mis au point la meilleure protection contre le soleil : une protection buvable contre les rayons nocifs ! Le produit est nommé "Harmonised H20 UV" et peut fournir un indice de protection allant jusqu'à 30. Comment cela marche ? Il suffit de boire 2 mL du produit mélangé à de l'eau toutes les 4h pour avoir une protection optimale. Une fois ingurgité, les molécules du produit viennent au contact des cellules de peau et les protègent de 97% des rayons UV-A et B.
Si vous êtes intéressé(e) par ce produit, c'est par ici ! Il y a des avis (forcément) positifs sur le site mais pour le moment, Harmonised H20 UV n'a toujours pas été approuvé par l'ordre des dermatologues américains, qui est septique quant à l'utilisation d'un produit qui peut affecter tout notre système quand on ne peut simplement le protéger à la surface. J'aurai tendance à être du même avis qu'eux...
Si vous êtes intéressé(e) par ce produit, c'est par ici ! Il y a des avis (forcément) positifs sur le site mais pour le moment, Harmonised H20 UV n'a toujours pas été approuvé par l'ordre des dermatologues américains, qui est septique quant à l'utilisation d'un produit qui peut affecter tout notre système quand on ne peut simplement le protéger à la surface. J'aurai tendance à être du même avis qu'eux...
jeudi 22 mai 2014
"A la recherche du temps perdu" de Marcel Proust
Oui, mes lectures sont à l'image de ma vie... Je cours après le temps perdu mais je n'ai de doute que j'arriverai a rattraper le retard de mon blog ! :-) J'ai donc repris mes lectures dites classiques avec l'œuvre de Marcel Proust "À la recherche du temps perdu" qui est un roman écrit en sept tomes. Oui, encore mieux que "Guerre et Paix" de Leo Tolstoy ! J'ai donc commencé avec Du côté de chez Swann, le premier volume du roman.
Je savais que ma lecture serait fastidieuse et je n'ai pas été déçu ! Lorsque vous commencez le roman, vous savez que vous avez affaire à de la "vraie" littérature et que Marcel Proust est un excellent écrivain. J'ai été un peu décontenancé avec des mots comme métempsycose (le transvasement d'une âme dans un autre corps qu'elle va animer), mais je me suis rapidement plongé dans les réflexions de l'auteur. En effet, plutôt que le récit autobiographique d'une séquence d'événements, le roman de Marcel Proust s'intéresse pas aux souvenirs du narrateur mais fait une réflexion plus large sur la littérature, sur la mémoire, sur le temps et bien sur l'amour ! Si vous voulez, le narrateur aborde un souvenir et c'est prétexte à discuter, philosopher et s'interroger. Il y a ainsi des passages qui, un siècle après, prennent encore plus signification. Morceaux choisis.
Notre personnalité sociale est une création de la pensée des autres.
Elle tira de cette contrainte même une pensée délicate de plus, comme les bons poètes que la tyrannie de la rime force à trouver leurs plus grandes beautés.
Ma grand’mère, ai-je su depuis, avait d’abord choisi les poésies de Musset, un volume de Rousseau et Indiana ; car si elle jugeait les lectures futiles aussi malsaines que les bonbons et les pâtisseries, elle ne pensait pas que les grands souffles du génie eussent sur l’esprit même d’un enfant une influence plus dangereuse et moins vivifiante que sur son corps le grand air et le vent du large.
(…) elle ne se résignait jamais à rien acheter dont on ne put tirer un profit intellectuel, et surtout celui que nous procurent les belles choses en nus apprenant à chercher notre plaisir ailleurs que dans les satisfactions du bien-être et de la vanité.
Et tout d’un coup le souvenir m’est apparu. Ce goût celui du petit morceau de madeleine que le dimanche matin à Combray (parce que ce jour-là je ne sortais pas avant l’heure de la messe), quand j’allais lui dire bonjour dans sa chambre, ma tante Léonie m’offrait après l’avoir trempé dans son infusion de thé ou de tilleul.
Les femmes qui prétendent ne juger un homme que sur son physique, voient en ce physique l’émanation d’une vie spéciale. C’est pourquoi elles aiment les militaires, les pompiers : l’uniforme les rend moins difficiles pour le visage : elles croient baiser sous la cuirasse un cœur différent, aventureux et doux.
Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances, ils n’ont pas fait naitre celles-ci, ils ne les détruisent pas ; ils peuvent leur infliger les plus constants démentis sans les affaiblir, et une avalanche de malheurs ou de maladies se succédant sans interruption dans une famille, ne le fera pas douter de la bonté de son Dieu ou du talent de son médecin.
Tous ces souvenirs ajoutés les uns aux autres ne formaient plus qu’une masse, mais non sans qu’on put distinguer entre eux, - entre les plus anciens, et ceux plus récents, nés d’un parfum, puis ceux qui n’étaient que les souvenirs d’une autre personne de qui je les avais appris – sinon des fissures, des failles véritables, du moins ces veinures, ces bigarrures de coloration, qui dans certaines roches, dans certains marbres, révèlent des différences d’origine, d’âge, de « formation ».
(…) à l’âge déjà un peu désabusé dont approchait Swann et où l’on sait se contenter d’être amoureux pour le plaisir de l’être sans trop exiger de réciprocité.
Il était convenu qu’on est intelligent dans la mesure où on doute de tout et où on ne trouvait de réel et d’incontestable que les goûts de chacun.
On ne connait pas son bonheur. On n’est jamais aussi malheureux qu’on croit.
Les mots nous présentent des choses une petite image claire et usuelle comme celles que l’on suspend aux murs des écoles pour donner aux enfants l’exemple de ce qu’est un établi, un oiseau, une fourmilière.
Les lieux que nous avons connus n’appartiennent pas qu’au monde de l’espace où nous les situons pour plus de facilité. Ils n’étaient qu’une mince tranche au milieu d’impressions contiguës qui formaient notre vie d’alors ; le souvenir d’une certaine image n’est que le regret d’un certain instant ; et les maisons, les routes, les avenues, sont fugitives, hélas, comme les années.
C'est magnifiquement écrit et cela nous amène à de profondes réflexions et parfois à nos propres souvenirs. Je suis sûr que ma sœur et mon frère reconnaitront ce même souvenir à la lecture de ce passage.
Fauteuils en velours frappé, toujours revêtus d’un appui-tête au crochet.
La lecture de ce premier tome de "A la recherche du temps perdu", je dois vous l'avouer, a été très fastidieuse. J'en retiens de très bons passages mais cela m'a fait longuement hésité à lire les 6 autres tomes. Je me lancerai dans la lecture du suivant. Les mots de l'auteur m'en ont convaincu !
Nous sommes très longs à reconnaître dans la physionomie particulière d’un nouvel écrivain le modèle qui porte le nom de « grand talent » dans notre musée des idées générales. Justement parce que cette physionomie est nouvelle nous ne la trouvons pas tout à fait ressemblante à ce que nous appelons talent. Nous disons plutôt originalité, charme, délicatesse, force ; et puis un jour nous nous rendons compte que c’est justement tout cela le talent.
Ce que je reproche aux journaux c’est de nous faire faire attention tous les jours à des choses insignifiantes tandis que nous lisons trois ou quatre fois dans notre vie les livres où il y a des choses essentielles.
Je savais que ma lecture serait fastidieuse et je n'ai pas été déçu ! Lorsque vous commencez le roman, vous savez que vous avez affaire à de la "vraie" littérature et que Marcel Proust est un excellent écrivain. J'ai été un peu décontenancé avec des mots comme métempsycose (le transvasement d'une âme dans un autre corps qu'elle va animer), mais je me suis rapidement plongé dans les réflexions de l'auteur. En effet, plutôt que le récit autobiographique d'une séquence d'événements, le roman de Marcel Proust s'intéresse pas aux souvenirs du narrateur mais fait une réflexion plus large sur la littérature, sur la mémoire, sur le temps et bien sur l'amour ! Si vous voulez, le narrateur aborde un souvenir et c'est prétexte à discuter, philosopher et s'interroger. Il y a ainsi des passages qui, un siècle après, prennent encore plus signification. Morceaux choisis.
Notre personnalité sociale est une création de la pensée des autres.
Elle tira de cette contrainte même une pensée délicate de plus, comme les bons poètes que la tyrannie de la rime force à trouver leurs plus grandes beautés.
Ma grand’mère, ai-je su depuis, avait d’abord choisi les poésies de Musset, un volume de Rousseau et Indiana ; car si elle jugeait les lectures futiles aussi malsaines que les bonbons et les pâtisseries, elle ne pensait pas que les grands souffles du génie eussent sur l’esprit même d’un enfant une influence plus dangereuse et moins vivifiante que sur son corps le grand air et le vent du large.
(…) elle ne se résignait jamais à rien acheter dont on ne put tirer un profit intellectuel, et surtout celui que nous procurent les belles choses en nus apprenant à chercher notre plaisir ailleurs que dans les satisfactions du bien-être et de la vanité.
Et tout d’un coup le souvenir m’est apparu. Ce goût celui du petit morceau de madeleine que le dimanche matin à Combray (parce que ce jour-là je ne sortais pas avant l’heure de la messe), quand j’allais lui dire bonjour dans sa chambre, ma tante Léonie m’offrait après l’avoir trempé dans son infusion de thé ou de tilleul.
Les femmes qui prétendent ne juger un homme que sur son physique, voient en ce physique l’émanation d’une vie spéciale. C’est pourquoi elles aiment les militaires, les pompiers : l’uniforme les rend moins difficiles pour le visage : elles croient baiser sous la cuirasse un cœur différent, aventureux et doux.
Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances, ils n’ont pas fait naitre celles-ci, ils ne les détruisent pas ; ils peuvent leur infliger les plus constants démentis sans les affaiblir, et une avalanche de malheurs ou de maladies se succédant sans interruption dans une famille, ne le fera pas douter de la bonté de son Dieu ou du talent de son médecin.
Tous ces souvenirs ajoutés les uns aux autres ne formaient plus qu’une masse, mais non sans qu’on put distinguer entre eux, - entre les plus anciens, et ceux plus récents, nés d’un parfum, puis ceux qui n’étaient que les souvenirs d’une autre personne de qui je les avais appris – sinon des fissures, des failles véritables, du moins ces veinures, ces bigarrures de coloration, qui dans certaines roches, dans certains marbres, révèlent des différences d’origine, d’âge, de « formation ».
(…) à l’âge déjà un peu désabusé dont approchait Swann et où l’on sait se contenter d’être amoureux pour le plaisir de l’être sans trop exiger de réciprocité.
Il était convenu qu’on est intelligent dans la mesure où on doute de tout et où on ne trouvait de réel et d’incontestable que les goûts de chacun.
On ne connait pas son bonheur. On n’est jamais aussi malheureux qu’on croit.
Les mots nous présentent des choses une petite image claire et usuelle comme celles que l’on suspend aux murs des écoles pour donner aux enfants l’exemple de ce qu’est un établi, un oiseau, une fourmilière.
Les lieux que nous avons connus n’appartiennent pas qu’au monde de l’espace où nous les situons pour plus de facilité. Ils n’étaient qu’une mince tranche au milieu d’impressions contiguës qui formaient notre vie d’alors ; le souvenir d’une certaine image n’est que le regret d’un certain instant ; et les maisons, les routes, les avenues, sont fugitives, hélas, comme les années.
C'est magnifiquement écrit et cela nous amène à de profondes réflexions et parfois à nos propres souvenirs. Je suis sûr que ma sœur et mon frère reconnaitront ce même souvenir à la lecture de ce passage.
Fauteuils en velours frappé, toujours revêtus d’un appui-tête au crochet.
La lecture de ce premier tome de "A la recherche du temps perdu", je dois vous l'avouer, a été très fastidieuse. J'en retiens de très bons passages mais cela m'a fait longuement hésité à lire les 6 autres tomes. Je me lancerai dans la lecture du suivant. Les mots de l'auteur m'en ont convaincu !
Nous sommes très longs à reconnaître dans la physionomie particulière d’un nouvel écrivain le modèle qui porte le nom de « grand talent » dans notre musée des idées générales. Justement parce que cette physionomie est nouvelle nous ne la trouvons pas tout à fait ressemblante à ce que nous appelons talent. Nous disons plutôt originalité, charme, délicatesse, force ; et puis un jour nous nous rendons compte que c’est justement tout cela le talent.
Ce que je reproche aux journaux c’est de nous faire faire attention tous les jours à des choses insignifiantes tandis que nous lisons trois ou quatre fois dans notre vie les livres où il y a des choses essentielles.
mercredi 21 mai 2014
Quoi ma gueule ?
Ceci est un logo que vous risquez de voir de plus en plus dans les supermarchés ! En effet, il est rare de trouver des fruits et des légumes "moches" sur nos étals ou en rayon. La première raison est que le consommateur ne les achèterait pas (même si ils ont le même gout !) et surtout que les producteurs ne veulent pas les vendre pour les mêmes raisons ! Chaque fruit et légume doit être parfait (et s'il n'y avait que les fruits que la société voulait parfait...) car sinon, ils ont un "problème" et ne sont forcement pas bons.
Partant de ce triste constat, le collectif Les Gueules cassées vient de créer un nouveau label, Quoi ma gueule? Pour éviter le gaspillage alimentaire, le collectif a eu l'idée de récupérer les fruits et légumes que les producteurs ne peuvent pas vendre car hors calibres ou difformes, et a décidé de les mettre en rayon... 30% moins cher ! Le label est a l'essai dans quels points seulement pour le moment avec espoir que les grandes enseignes jouent le jeu très rapidement !
Mise a jour
Les retours des clients ont été très positifs. La surprise a été de constater que pour la plupart des consommateurs, un fruit ou légume parfait et lisse, s'associe de plus en plus à un manque de goût. D'où un succès dans la plupart des enseignes pour les fruits et les légumes "Quoi ma gueule ?" ! Vous pouvez les trouver à Intermarché, Monoprix, Leclerc, Auchan et encore U. La liste complète des partenaires sont sur le site du label : http://lesgueulescassees.org.
lundi 19 mai 2014
Ces derniers jours
Ces derniers jours ont été pas mal remplis entre le labo et les sorties ! Lundi, belle-maman est arrivée de Floride. Nous l'avons invitée à Oleana, une de nos restaurants préférés ! On a bien sûr pris en dessert leur fameux "baked Alaska" avec une glace à la noix de coco et un caramel de fruit de la passion. Hummm !
Mardi, belle-maman a changé de logement et on l'a déposée chez Lindsay et Scott à Andover. Comme tout le monde était réuni, elle nous a invitée au restaurant. Très bon choix avec Brasserie 28 même si le serveur en faisait un peu trop en m'appelant gentleman à chaque parole qu'il me disait... lol
Mercredi, Justin était absent et je suis allé au musée avec Céline et Manuel. Pour ceux qui l'auraient raté quelques photos ici de la magnifique exposition Quilts and Color.
Mercredi, nous avions rendez-vous avec Stella et Kristina pour diner au Blue Dragon, ce restaurant de cuisine franco-asiatique. Absolument délicieux ! Les filles m'ont fait un "belated birthday" surprise. Que j'aime avoir tous les gens qui me regardent dans un restaurant... (ironique)
Vendredi, Justin m'a rejoint à la sortie du labo et nous sommes allés manger une pizza à Bertucci’s rapidement car après, nous étions de baby-sitting pour Anaïs ! Tout s'est bien passé, elle a dormi d'un trait !
Samedi, labo, gym et surtout cuisine ! Le soir, nous avions invité Ryan et Heather à manger. J'avais fait mes entrées habituelles (cakes salés, quiche, velouté, etc...) et j'avais préparé une nouveauté pour le plat de résistance : du poulet au kiwi avec des perles de semoule libanaises. J'ai perdu la photo depuis, désolé ! Le gout était particulier et plutôt intéressant ! Je recommencerai en l'améliorant ! En dessert, j'avais fait des mousses au chocolat à l'orange pour achever tout le monde ! En feit, ce qui nous a achevé ce fut surtout les cocktails de Justin ! lol Cela ne nous a pas suffi et nous avons été faire la fermeture de ArtBar à coté de chez nous. Nous avons bu en terrasse jusqu'à 2h du mat' ! Ryan et Heather sont rentrés en taxi dans un état très avancé... et nous aussi ! Le lendemain, une gueule de bois terrible... J'ai eu beau boire de l'eau toute la matinée, quand nous sommes allés à l'opéra dans l'après-midi, j'étais toujours "hungover" !
Lindsay et Scott m'avaient offert pour mon anniversaire 2 billets pour aller voir un ballet à Boston Opera House. Le ballet Pricked était composé de 3 volets complètement différents. Le premier était très classique, Études de Harld Lander sur une musique de Carl Czerny. Un volet impressionnant sur le plan technique ! Le deuxième volet était un duo romantique, D.M.J. 1953-1977 de Petr Zuska sur une musique de Leos Janacek. Beau a voir et très artistique. Le dernier panneau était définitivement plus moderne et plus provoquant ! Cacti de Alexander Ekman a définitivement beaucoup plu aux danseurs qui se sont éclatés sur scene.
Ce fut un merveilleux cadeau d'anniversaire même si ma gueule de bois était de la partie ! Nous sommes rentrés directement après pour passer une soirée tranquille. Thé, thé, thé !
Mardi, belle-maman a changé de logement et on l'a déposée chez Lindsay et Scott à Andover. Comme tout le monde était réuni, elle nous a invitée au restaurant. Très bon choix avec Brasserie 28 même si le serveur en faisait un peu trop en m'appelant gentleman à chaque parole qu'il me disait... lol
Mercredi, Justin était absent et je suis allé au musée avec Céline et Manuel. Pour ceux qui l'auraient raté quelques photos ici de la magnifique exposition Quilts and Color.
Mercredi, nous avions rendez-vous avec Stella et Kristina pour diner au Blue Dragon, ce restaurant de cuisine franco-asiatique. Absolument délicieux ! Les filles m'ont fait un "belated birthday" surprise. Que j'aime avoir tous les gens qui me regardent dans un restaurant... (ironique)
Vendredi, Justin m'a rejoint à la sortie du labo et nous sommes allés manger une pizza à Bertucci’s rapidement car après, nous étions de baby-sitting pour Anaïs ! Tout s'est bien passé, elle a dormi d'un trait !
Samedi, labo, gym et surtout cuisine ! Le soir, nous avions invité Ryan et Heather à manger. J'avais fait mes entrées habituelles (cakes salés, quiche, velouté, etc...) et j'avais préparé une nouveauté pour le plat de résistance : du poulet au kiwi avec des perles de semoule libanaises. J'ai perdu la photo depuis, désolé ! Le gout était particulier et plutôt intéressant ! Je recommencerai en l'améliorant ! En dessert, j'avais fait des mousses au chocolat à l'orange pour achever tout le monde ! En feit, ce qui nous a achevé ce fut surtout les cocktails de Justin ! lol Cela ne nous a pas suffi et nous avons été faire la fermeture de ArtBar à coté de chez nous. Nous avons bu en terrasse jusqu'à 2h du mat' ! Ryan et Heather sont rentrés en taxi dans un état très avancé... et nous aussi ! Le lendemain, une gueule de bois terrible... J'ai eu beau boire de l'eau toute la matinée, quand nous sommes allés à l'opéra dans l'après-midi, j'étais toujours "hungover" !
Lindsay et Scott m'avaient offert pour mon anniversaire 2 billets pour aller voir un ballet à Boston Opera House. Le ballet Pricked était composé de 3 volets complètement différents. Le premier était très classique, Études de Harld Lander sur une musique de Carl Czerny. Un volet impressionnant sur le plan technique ! Le deuxième volet était un duo romantique, D.M.J. 1953-1977 de Petr Zuska sur une musique de Leos Janacek. Beau a voir et très artistique. Le dernier panneau était définitivement plus moderne et plus provoquant ! Cacti de Alexander Ekman a définitivement beaucoup plu aux danseurs qui se sont éclatés sur scene.
Ce fut un merveilleux cadeau d'anniversaire même si ma gueule de bois était de la partie ! Nous sommes rentrés directement après pour passer une soirée tranquille. Thé, thé, thé !
dimanche 18 mai 2014
Effet ventouse
Il y a des questions simples que pourtant personne n'a jamais essayé d'expliquer. Par exemple, pourquoi les tentacules des poulpes ne se collent pas entre elles ?! Des chercheurs du laboratoire de neurobiologies des pieuvres à l'université de Jérusalem viennent de répondre à cette énigme dans leur étude parue dans la revue Current Biology - c'est par ici. On sait maintenant presque tout du fonctionnement de la ventouse du poulpe et cela pourrait s'avérer très utile pour la chirurgie !
Les poulpes sont intelligents ! Ils peuvent résoudre des problèmes, ont une mémoire et... peuvent aussi prédire les résultats de la coupe du Monde de football - à relire ici et là ! Ils ont 200 millions de neurones dans leur cerveau et plus de 300 millions de nerfs périphériques qui s'étendent à travers leurs tentacules. Ils ont donc un contrôle complet sur leurs tentacules ! Cependant, contrôler ses bras ne veut pas dire ne pas s'emmêler les tentacules ! Alors c'est quoi le mystère ?
Le mystère serait un signal chimique qui serait comme une sorte d'auto-avertissement prévenant le poulpe qu'une tentacule serait en contact avec un autre. Au cours de leurs recherches, les chercheurs ont recueilli les substances chimiques présentes naturellement sur un tentacule. Les chercheurs ont réussi à démontrer que chacun des signaux qu'émet le poulpe est propre à lui-même, ce qui lui permet de reconnaître son bras ! Le poulpe sait même différencier si son bras est amputé ou pas ! Ce type de mécanisme pourrait être intéressant pour des applications en chirurgie pour laquelle on peut imaginer une sorte de "bras de poulpe" qui ramperait à travers les tuyaux de l'intestin et serait programmé pour éviter la paroi intestinale. Comme quoi, on a beaucoup à apprendre des poulpes !
Les poulpes sont intelligents ! Ils peuvent résoudre des problèmes, ont une mémoire et... peuvent aussi prédire les résultats de la coupe du Monde de football - à relire ici et là ! Ils ont 200 millions de neurones dans leur cerveau et plus de 300 millions de nerfs périphériques qui s'étendent à travers leurs tentacules. Ils ont donc un contrôle complet sur leurs tentacules ! Cependant, contrôler ses bras ne veut pas dire ne pas s'emmêler les tentacules ! Alors c'est quoi le mystère ?
Le mystère serait un signal chimique qui serait comme une sorte d'auto-avertissement prévenant le poulpe qu'une tentacule serait en contact avec un autre. Au cours de leurs recherches, les chercheurs ont recueilli les substances chimiques présentes naturellement sur un tentacule. Les chercheurs ont réussi à démontrer que chacun des signaux qu'émet le poulpe est propre à lui-même, ce qui lui permet de reconnaître son bras ! Le poulpe sait même différencier si son bras est amputé ou pas ! Ce type de mécanisme pourrait être intéressant pour des applications en chirurgie pour laquelle on peut imaginer une sorte de "bras de poulpe" qui ramperait à travers les tuyaux de l'intestin et serait programmé pour éviter la paroi intestinale. Comme quoi, on a beaucoup à apprendre des poulpes !
samedi 17 mai 2014
Instantanés (8)
Nouvelle série de photos insolites trouvées sur le web !
Y en a qui préfèrent faire du vélo plutôt que de marcher !
Comment manger une pizza entière en une tranche !
Ouh ! Y a probablement une histoire d'ex là dessous !
Pour les élèves mexicains : la trousse fajita !
Cela me rappelle "Lars and the real girl" avec Ryan Gosling !
En parlant de Ryan Gosling, il s'amuse bien avec Macaulay Culkin !
La coupe du monde de football se prépare...
No comment !
Vous aussi vous y avez cru ! :-)
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